Shadowrun en français
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Appelons le Roger le Runner
Perché sur le haut du toit de la tour Fujikawa Roger regarde la ville, immonde métropole de ciment et d'acier, mais Roger s'en fou parce que se ne le regarde pas.
Non, Roger préfère garder son calme face au métroplexe et ses quartiers, tout simplement parce qu'il a des choses beaucoup plus importantes auxquelles pensées, Roger le runner s'apprête à commettre un vole.
Dans son temps, où la technologie est reine les voleurs industriel, comme Roger, sont des outils essentiels à toute bonne corporation ... ça tombe bien Matatomi est un très bon employeur.
Surplombant la ville, il revoit mentalement les derniers détails, les moindres possibilités d'échec, tout se qui pourrait mal tourner en somme.
Il est près, il le sent, à vrai dire pas lui nécessairement mais bien ses reflexes augmentés, les supraconducteur qui compose ses muscles et ses terminaisons nerveuse se sont déjà mis au travail lui donnant des tics dans les mains, des tics incontrôlables qu'il a appris à aimé
Le taux d'adrénaline dans son sang est stable, il savait pourtant qu'il allait bientôt monté en flèche
Un grand respire et puis le vide, Roger vient de s'élancer, ses pieds ont quitté le sol, le vent souffle à son visage, à moins que ce soit son visage qui sépare l’air comme une mélasse invisible, un vide de 48 étages ... mais normalement le treuil mécanique devrait le retenir dans 10 étages, du moins si tout va bien ...
Voilà ! Il commence à ralentir, il se dit que s'est maintenant que tout commence, un coup d’oeil à son affichage rétinien lui indique se qu’il savait déjà : son adrénaline à fait un bon dans son sang, déjà il sent son cerveau tourné à une allure qui n’a plus rien de naturel, l’addition des reflexes augmentés et de cette hormone il faut croire.
La fenêtre s’affiche comme une porte perdu dans une mer de verre suspendu à des mètres au dessus du sol, du moins pour ce soir c’est sa porte d’entré. Dans la descente il a pensé à dégainer son pistolet, un bon vieux Beretta à double chargeur, il a déjà enclenché son chargeur de réserve et les balles à fragmentation on fait le reste.
La fenêtre à volé en éclat pendant que Roger s’engouffrait dans celle-ci et avec une pirouette d’une grâce digne d’un olympien, il retombe sur ses pieds. Pendant se temps sa main droite a déjà remis en place son chargeur principal, des balles de gel. Visiblement Roger n’est pas un tueur.
Si ses calculs sont exacts, il ne lui reste que 4 minutes avant que la sécurité déboule à son étage … c’est bien assez.
D’un seul coup il ouvre la porte et s’élance dans le couloir, quelques mètres avant son objectif. Un obstacle ! Rien de trop difficile un porte fermé. Sa main droite a déjà remis le cran qui donne l’ordre au pistolet de réengager une balle du second chargeur dans la chambre. Deux brefs tirs font exploser les gons et Roger saute les pieds en avant dans la porte.
Cette tactique à pour but de faire paniquer les deux gardes à l’intérieur, mais se sont des professionnels et pas grands choses ne leurs font peur, il faut croire. Invariablement, ceux-ci on déjà entamer leurs mouvements de combat. L’un dégaine, l’autre attaque déjà, trop loin pour un coup de poing, son pied fend l’air depuis quelques millisecondes. Mais Roger n’est pas nait de la dernière pluie, il a déjà évité, se qui lui fait peur maintenant c’est les talents de tireur du deuxième garde.
« Sérieusement le prochain implant que je me pais c’est des ReflexRecorder » se dit-il, mais il étouffe cette sensation de manque, il y repensera si il est toujours en vie dans deux minutes.
En parlant de temps, le sien file à toute vitesse. Il va falloir qu’il s’active s’il veut s’en sortir.
Visé, respiré, bloqué et tiré. S’est simple, rapide et visiblement efficace, puisque le bras du cowboy qui dégainait a cassé avec un bruit … dégoutant. Les balles de gel on se petit défaut appréciable de libérer leur énergie cinétique sur une grande surface. Maintenant plus que le Ninja.
Un coup du revers de la main pourrait bien le mettre KO, mais le questionnement est trop long. Un coup de pied bas est déjà parti de son adversaire, Bloqué avec la cuisse, BLOQUÉ AVEC LA CUISSE. Débalancé par son dernier coup l’attaquant est à la merci de Roger, qui fait partir sa main vers l’avant et lui attrape la gorge. La droite laisse tombé le pistolet, la gauche serre un peu plus fort, ne pas le laisser partir, la droite fouille déjà dans sa poche ventral pour trouvé un patch analgésique. Redoutant la mort, le Ninja combat avec plus d’ardeur mais Roger tien bon … mais pas assez. De toute façon c’est trop tard pour le Ninja parce que la main droite à déjà appliqué le patch analgésique sur la carotide de son adversaire.
Pendant que ce dernier s’effondre, submerger par les produits chimiques, Roger se retourne vers le cowboy et lui applique un patch, à lui aussi, sur la carotide. Roger regarde les deux gardes s’effondrés, pendant se temps il se doit de ramasser son arme, ne pas laisser de trace.
Visiblement Roger n’est pas un tueur.
La course est plus complexe avec une cuisse endoloris mais il tient bon, il doit tenir bon, il est presque arrivé.
Il ralenti la dernière porte est devant lui, clairement il ne pourra pas faire exploser les gons. Piraté les maglocks ne serra pas de tout repos … Où est le clavier numérique ? Où est le scanner rétinien ou palmaire ? Où est le lecteur de carte ? À la place il n’y a qu’une petite fente dans un cercle, un truc métallique à peu près à auteur de coude.
En regardant à l’intérieur, Roger ne vois pas grand-chose. Il doit y avoir un mécanisme à l’intérieur de la porte … mais quoi ?
Roger le runner ne peut pas avancer, il doit rebrousser chemin, décidément son employeur ne sera pas content.
Après avoir sauté du haut des 38 étages et avoir déclenché son parachute, Roger le Runner se dit que : « Visiblement on arrête pas le progrès ! »
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dite moi ce que vous en pensez ...
oui oui je sais il y a une coupe de fautes de français
et oui l'idée met venu en lisant les régles de lockpicking dans le livre de régles
bonne lecture
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