Shadowrun en français
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l'article en question est là, ça vous donne pas des idées ?
Dernière modification par Jérémie (01/03/2007 11:49:58)
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Ca n'est pas nouveau. Par contre, le traitement biologique de données (basiquement, les cpu organiques) me semble sur le papier plus prometteur.
Parce que compter sur la reproduction des bactéries pour la sauvegarde des données, mouais, je préférerais quelque chose de plus pérenne.
Par contre, l'idée que ça me donne c'est le stockage de données en bioware (l'équivalent du datalock ou de la headware memory, mais en biologique, donc auto réparable, moins visible, etc.).
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Jérémie a écrit:
...
Par contre, l'idée que ça me donne c'est le stockage de données en bioware (l'équivalent du datalock ou de la headware memory, mais en biologique, donc auto réparable, moins visible, etc.).
Yep
ou des mecs génétiquements modifiés qui doivent être récupérés pour obtenir un testament génétique quand tu les met tous ensemble
ou des passeurs de données d'un nouveau type.
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Jérémie a écrit:
Ca n'est pas nouveau. Par contre, le traitement biologique de données (basiquement, les cpu organiques) me semble sur le papier plus prometteur.
Parce que compter sur la reproduction des bactéries pour la sauvegarde des données, mouais, je préférerais quelque chose de plus pérenne.
Par contre, l'idée que ça me donne c'est le stockage de données en bioware (l'équivalent du datalock ou de la headware memory, mais en biologique, donc auto réparable, moins visible, etc.).
le plus gênant avec cette méthode de stockage de données c'est que pour y avoir accès il faudra purifier l'ADN. Ensuite il faudra l'analyser puis le comparer avec la séquence originale.
Bref, c'est une méthode qui n'est pas rapide, qui coute cher et nécessite pas mal de matériel.
Bien sûr en 2060, tout est plus facile et rapide.
Sinon, les bactéries pourront se reproduire très bien toutes seules si le milieu est stable grâce à la multiplication asexuée. Celle-ci à le grand avantage de ne pas entrainer de mutation, ce qui, dans le cas présent, est avantageux car n'altère pas les données.
bon je m'arrête avant de saouler tout le monde.
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Plus je relis ça et plus je pense qu'on va pouvor classer les antibiotiques dans la catégorie... virus informatique.
ça fout les jetons
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bloody mary a écrit:
Sinon, les bactéries pourront se reproduire très bien toutes seules si le milieu est stable grâce à la multiplication asexuée. Celle-ci à le grand avantage de ne pas entrainer de mutation, ce qui, dans le cas présent, est avantageux car n'altère pas les données.
bon je m'arrête avant de saouler tout le monde.
oui mais les bactéries peuvent muter pour les raisons classique, mauvaise alimentation radiation, onde radio qui ne manquent pas de déborder de la matrice wifi, etc...
du coup on peut imaginer un système de code type jpeg qui permet d'obtenir une bonne image à partir d'approximation
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Cela dit, une bonne dose de redondance avec les algorithmes de codes correcteurs et détecteurs d'erreurs (CCDE) permet de s'en sortir.
Le jpeg est un peu particulier, car son premier effet est de supprimer la redondance intrinsèque à la structure des images (d'où un diminution de taille en moyenne d'un facteur 10) mais c'est ici une compression avec pertes (l'image est modifiée).
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